Nous ne le répéterons jamais suffisamment. Le fisteur doit être toujours à l'écoute du fisté. Etre à l'écoute veut dire être attentif aux besoins ou aux désirs du fisté. Celui-ci peut se permettre de demander par exemple au fisteur de mettre son coude posé sur le sol, avant bras et main en l'air en position recroquevillé. Le fisté pourra ainsi  avaler la main du fisteur de manière originale.

     En farfouillant les culs, il est normal par exemple que le seconde trou se déplace et ne soit plus en face du premier trou. Durant les jours qui suivent d'un fist, pas étonnant que l'on se sente balloné ou indisponible pour aller aux toilettes, ou que l'on ait même mal au cul. Après chaque fist, le fisteur devrait remettre en place le cul de son partenaire et vérifier l'état intérieur du cul de son partenaire.

     Seul le fisteur pourra ressentir de l'intérieur les anomalies de son partenaire. Lorsque par exemple le cocsis, la prostate ou la vessie commencent à se fatiguer, le fisteur devra arrêté de fister pour éviter des lesions. Si par exemple le cocsis du fisté a tendance à s'enfler, avant de retirer la main, le fisteur massera doucement le cocsis du fisté. Faite de même avec le reste du cul.

     Souvent, on a affaire à des mauvais fisteurs qui croient savoir fister. Mieux vaudrait qu'ils arrêtent de fister. Ils nous font plutôt mal. Des inflamations apparaissent alors et tardent quelques jours à disparaître. Ces personnes-là personnellement, je ne les revoient plus. Messieurs les fisteurs, rappelez-vous enfin, que vous avez au bout de vos mains non seulement des culs mais aussi des vies à respecter. 

     L'utilisation des gants est recommandée dans les plans fist pour éviter les maladies contagieuses. Mais il se trouve que certains mecs préfèrent ne pas utiliser de gants. Ils se rendent compte que l'introduction de la main est plus facile alors. Pour cela il est plus que recommandée que les mains soient bien désinfectées à l'avance, les ongles bien coupées, et la main sans aucune égratignure.