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Du côté du fisté : on lave !
Il semble y avoir une raison très simple d’effectuer un lavement avant de jouer : beaucoup de mecs n’apprécient pas particulièrement l’idée d’avoir un contact avec la merde.
Récemment, des méthodes Hi Tech ont été développées, notamment un suppositoire qui, en fondant, vous rempli de dioxyde de carbone et vous permet ainsi de vous nettoyer mieux qu’avec les autres méthodes. Je n’en parlerai pas plus car je ne connais pas ce produit. Ce que j’ai peu entendre dire me fait douter de son efficacité. Je vais juste me contenter de vous parler de la bonne vieille méthode du lavement. Ceci consiste au remplissage du rectum avec de l’eau. Ensuite, on expulse cette eau et de tout le reste.
L’équipement le plus simple consiste en un simple tuyau de douche dont on a retiré la pomme. Attention aux arrêtes qui peuvent parfois être tranchantes et abîmer les muqueuses anales. Le système le plus pratique est un embout spécial qui, placé à l’extrémité du flexible de douche, est introduit dans le rectum.
Une alternative est d’utiliser une poire à lavement afin d’introduire de l’eau dans l’ampoule rectale. Elle a l’avantage d’être facilement transportable et ne nécessite aucune plomberie adaptée. Elle peut aussi être utilisée pour lubrifier en profondeur.
La nourriture est aussi très importante. Un apport important en fibres rend le lavement plus facile, même s’il y a plus à nettoyer. Certains vont même jusqu’à jeûner pendant 24 heures.
Certains arrivent à se laver simplement en se remplissant et en se vidant plusieurs fois sur une courte période. Pour d’autres, le lavement s’étend sur une ou deux heures, avec un petit contrôle final avant le fist.
Quelle que soit la méthode utilisée pour effectuer le lavement, rien ne peut garantir une propreté impeccable, spécialement lors d’un fist profond et/ou large. Un vrai fisteur le sait très bien et agira en conséquence. Vouloir être propre à tout prix est parfaitement compréhensible, mais le fist n’est vraiment pas une pratique pour ceux qui deviennent paranos à la simple idée d’avoir un contact avec la merde.